La chargé de com’ du projet.
Elle est belle, elle est jeune et surtout elle est douée pour donner la visibilité. Naema a fait ses armes chez Emmaüs & va passer 9 mois dans une communauté de freaks au sommet d’une petite île toute verte, Nosy Komba, signifiant île aux lémuriens. Akiba c’est l’Amour d’un vaza avec une malgache au caractère hypra trempé, princesse rebelle, c’est une alliance rock n’roll entre 2 passionnés, celui qui se noit dans ses flots d’idées et celle possède la terre pour les réaliser. Akiba veut dire patrimoine en gasy, et le patrimoine c’est autant la terre saine que les têtes fertiles. Akiba s’est donné une triple mission: expérimenter avec pertinence la vision permacole, s’inscrire dans la veine d’un tourisme éco-authentique et développer les programmes d’une petite école sur le modèle Montessori. À 600m d’altitude, on se promène avec Rapace (qui n’est pas un volatile) dans les cultures de vanille, ylang, poivrier, cacaoyer; il a toujours une longueur d’avance, normal le jeune descend au village dès qu’il y a besoin d’une course ou deux et il peut se faire le trajet jusqu’à 2 fois par jour. Une personne “basique” met 2h à grimper…Redondantes les vues à couper le souffle, mais rien ne rebute ce champion de makitrail alors il est plutôt gentil de casser son rythme pour attendre que j’ai fini de me faire démonter par des escadrons de moustiquade invisible…
Dixit le site balade malgache, “Nosy Komba est, à l’image de Madagascar, d’une aridité économique inversement proportionnelle à l’opulence de sa nature.”
Autofinancé plus par débrouillardise que par choix, l’éco-village encourage toutes formes de dons et volontariats de compétence, c’est-à-dire qu’il y a une place pour vous dans ce petit paradis si vous avez quelque chose à apporter au projet, dans ses versants agrono éducatifs notamment.
Le prof est particulièrement en demande avec sa dizaine de mini-mouses montées sur pile!
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