Je pars pour Mada de janvier à mars en plein Asara, l’été malgache qui correspond aux tempêtes et fortes pluies à répétition. Mon truc, ma marotte, c’est de monter jusqu’à Diego Suarez en passant par la côte est, celle qui est soumise aux pires caprices tropicaux.
Noyau chaud, haute pression, condensation et boom ouragan!
Entre l’anticyclone des Mascareignes et le souffle violent de l’alizée, il y a de quoi s’en prendre plein la gueule mais c’est pas comme si je cherchais la tranquillité. Et puis, Mada est un des 12 premiers pays mégadivers, c’est-à-dire qu’ils détiennent les 3/4 de la diversité biologique planétaire. Alors on va pas se formaliser devant une grosse moussons.

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